top of page

Le texte d'une alésienne sur ce drame, 3 personnes tuées.

  • chabannescbs
  • 4 déc.
  • 2 min de lecture
ree

Ils s’appelaient Amine, Anael, Giovanni.


Et avant eux, il y a eu Naem au

mois d’octobre et tant d’autres noms, d’autres drames à Alès, en si peu de temps… Tous liés à la drogue, au trafic qui pousse et s’épanouit dans notre ville telle une mauvaise herbe et fauche nos enfants.


Cette fois, la coupe est pleine, c’en est trop pour se justifier d’un fléau commun à toutes les Communes de France. C’en est trop, pour se justifier de caméras installées dans toute la ville, ce qui reste à démontrer !.. bien que la méthode ne me convaincra jamais, et pour cause….


Ce ne sont pas juste les enfants des autres, ce sont nos enfants à tous, ce sont les enfants de la République : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits », Mais … « Pour que cette égalité de droits soit pleine et entière, vivante et concrète, l’État œuvre aussi à l’égalité des chances en soutenant plus particulièrement les citoyens démunis ou fragiles, et en encourageant la cohésion sociale dans les domaines de l’éducation, du logement, de l’emploi et de la santé. »


Que nini, La République faillit à sa mission.

Combien de victimes faut-il à nos élus pour agir ?...


Il ne suffit pas d’un café convivial avec la police municipale, ni d’un petit toboggan (merci Mme Haoues), que l'on installe comme une faveur, un cadeau de la municipalité, pour rassurer les citoyens de l’intérêt qu’on leur porte, il faut agir pour leur bien durable, agir pour le bien durable de la ville avec tous ses habitants, sans exception et dans tous les quartiers.


N'est-ce pas là votre mission, votre devoir ?


Latifa

 
 
 

Commentaires


bottom of page