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Stratégie de communication ? Surdité sélective ? Supériorité maladive ?

  • chabannescbs
  • 12 oct.
  • 1 min de lecture
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"Chers amis et citoyens Alèsiens.

Quand un personnage politique refuse de répondre à des questions, il ne s'agit pas seulement d'une simple négligence, mais souvent d'un mécanisme bien huilé visant à préserver son image et sa position.

Ce refus peut être motivé par plusieurs facteurs, dont la peur de perdre son poste est sans conteste l'un des plus déterminants.

En effet, un homme politique, tout comme un ouvrier face à son employeur, sait pertinemment que chaque mot prononcé peut avoir des conséquences significatives sur sa carrière.

Cette analogie est pertinente et révélatrice : quand un ouvrier choisit de ne pas répondre à son employeur, c'est généralement par crainte d'une répercussion négative, que ce soit une sanction ou même un licenciement.

De même, un politicien peut redouter les retombées d’une réponse mal jugée qui pourrait nuire à ses chances de réélection ou à sa crédibilité en tant que leader.

Dans cette optique, le silence devient alors une stratégie de survie.

Il y a aussi une autre dimension à considérer : la manipulation de l'opinion publique.

En esquivant des questions cruciales, ces personnages politiques cherchent à créer une distance avec des sujets potentiellement controversés, évitant ainsi de se compromettre.

C'est là un jeu dangereux, qui dévoile une volonté de maintenir le contrôle à tout prix.

Le refus de répondre n’est pas un acte innocent ; c'est le reflet d’une profonde méfiance envers ceux qu’ils sont censés servir.

En fin de compte, cette attitude démontre une incapacité, voire un refus, de rendre des comptes, et nous devons nous interroger sur l'intégrité de ceux qui choisissent le silence comme réponse."


Serge Henry

Merci !

 
 
 

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